TECHNIQUES
Le Scratching Endométrial
Le scratching ou grattage endométrial est une intervention pratiquée avant une FIV et proposée pour améliorer la réceptivité endométriale et augmenter la probabilité de grossesse.
L’endomètre est une couche de tissu qui tapisse l’intérieur de l’utérus. Dans la première étape d’une grossesse, un embryon s’attachera à l’endomètre dans un processus appelé implantation. Le scratching de l’endomètre est une procédure entreprise pour perturber délibérément l’endomètre chez les femmes qui veulent tomber enceintes. On pense que cette perturbation peut en quelque sorte augmenter les chances qu’un embryon s’implante, créant une grossesse.
La recherche et les preuves suggèrent que le grattage de la paroi utérine provoque une « réaction réparatrice » qui peut augmenter les taux d’implantation embryonnaire :
- Le processus de réparation libère des facteurs de croissance, des hormones et des produits chimiques qui rendent le nouveau revêtement (la muqueuse utérine) qui se développe après la procédure, plus réceptive à un implant embryonnaire et augmente ainsi les chances de grossesse.
- Une autre théorie est appelée « commutation de gènes »: Les scientifiques estiment que les gènes responsables de l’implantation des embryons ne sont parfois pas « activés » pendant le temps où les embryons sont censés être implantés. Les égratignures endométriales peuvent « activer » les gènes responsables de la préparation de l’endomètre à l’implantation, ce qui augmente les chances de grossesse.
Le scratching ou grattage endométrial est une intervention pratiquée avant une FIV et proposée pour améliorer la réceptivité endométriale et augmenter la probabilité de grossesse.
L’endomètre est une couche de tissu qui tapisse l’intérieur de l’utérus. Dans la première étape d’une grossesse, un embryon s’attachera à l’endomètre dans un processus appelé implantation. Le scratching de l’endomètre est une procédure entreprise pour perturber délibérément l’endomètre chez les femmes qui veulent tomber enceintes. On pense que cette perturbation peut en quelque sorte augmenter les chances qu’un embryon s’implante, créant une grossesse.
La recherche et les preuves suggèrent que le grattage de la paroi utérine provoque une « réaction réparatrice » qui peut augmenter les taux d’implantation embryonnaire :
- Le processus de réparation libère des facteurs de croissance, des hormones et des produits chimiques qui rendent le nouveau revêtement (la muqueuse utérine) qui se développe après la procédure, plus réceptive à un implant embryonnaire et augmente ainsi les chances de grossesse.
- Une autre théorie est appelée « commutation de gènes »: Les scientifiques estiment que les gènes responsables de l’implantation des embryons ne sont parfois pas « activés » pendant le temps où les embryons sont censés être implantés. Les égratignures endométriales peuvent « activer » les gènes responsables de la préparation de l’endomètre à l’implantation, ce qui augmente les chances de grossesse.